Qui sommes-nous ?

Anthony Bleton-Martin


Depuis son enfance où son père lui a fait découvrir les joies de l’astronomie sur les monts du Beaujolais, Anthony est animé par la beauté de la science et de la technologie, la découverte du globe, des langues, la puissance des arts, et de façon générale par tout ce qui civilise le Monde.Lors de son doctorat en physique quantique dans les laboratoires du CNRS, il découvre la puissance du web, il fonde alors Novius, une agence digitale basée à Paris et à Lyon, qu’il dirige jusqu’en 2014, date à laquelle elle atteint 40 personnes. Après un an passé à l’EM Lyon, son goût prononcé pour la puissance d’innovation permise par le code le pousse, en 2015, à créer MailClark, une startup ayant pour ambition de décloisonner les systèmes collaboratifs grâce à l’intelligence artificielle. Ce projet l’amenant à être au contact constant des acteurs de la Silicon Valley, il en perçoit bien les forces pour la “réinvention du monde” mais il est aussi aux premières loges pour constater les difficultés que pose l’imposition d’un modèle unique à l’ensemble de la planète, notamment par le biais de la langue dominante qu’est devenue l’anglais. Convaincu de la force de la civilisation européenne, il est porteur d’un projet ambitieux pour la dynamiser, l’Europa Lingua.

Alan Lewis

Etudiant à Sciences Po Lyon de 21 ans, il naît à Aix en Provence d’une mère française et d’un père britannique. Ainsi, dès sa naissance, il profite d’une certaine diversité culturelle dans le foyer parental. En grandissant, il développe un attachement fort pour le pays de son père, ce qui lui permet d’enrichir son identité : il est en quelque sorte un enfant de l’Europe. Naturellement, le Brexit est pour lui un déchirement, mais il le pousse à militer pour l’Europe. Cette séparation entre ses deux pays lui a fait prendre conscience que l’Europe telle que nous la connaissons ne peut plus perdurer, et qu’elle a besoin d’une union politique et culturelle plus forte. C’est pourquoi il a rejoint Europa Lingua, car il demeure convaincu qu’une langue commune permettrait un rapprochement des peuples et des cultures, similaire à celui qu’il a connu, et qui l’a fait tomber amoureux de l’Europe.Le terreau pour son engagement politique était déjà fertile puisqu’il est étudiant en 4e année à Sciences Po Lyon. Cette école lui donné un goût pour l’Histoire, la sociologie, l’économie et la recherche, qu’il essaie de mettre à profit à Europa Lingua. Il se dirige par ailleurs dans une carrière dans le domaine de l’économie politique. Le début de son aventure à Europa Lingua lui a aussi permis d’enrichir ses connaissances sur les langues, un domaine qui aujourd’hui le passionne et qui constitue la majeure partie de son travail dans notre think tank. Face à la période de crise que nous vivons, il est convaincu que le meilleur de l’Europe est devant nous. Il pense que c’est à sa génération, qui a grandi dans une Europe en crise et un monde radicalement différent de celui de nos parents, qu’il incombe de prendre les choses en main et donner un vent de fraîcheur à l’Europe. L’idéalisme de la jeunesse peut être pointé du doigt comme ridicule voire dangereux, mais il est convaincu que c’est l’ambition et le renouveau qui permettra à l’Europe de prospérer.

Baptiste Faure

Étudiant à Sciences Po Lyon de 20 ans, Baptiste est depuis longtemps passionné par l’histoire, les relations internationales, les civilisations et par le monde qui l’entoure plus généralement. Fier d’appartenir à la communauté européenne, il est en faveur d’une Europe fédérale, ultime étape de son développement. Néanmoins, il est déçu par le fonctionnement actuel de l’Union Européenne, principalement concentrée sur la coopération économique et non culturelle ou citoyenne. Le désintérêt voire la méfiance à l’égard de l’Europe, illustrée notamment par le retour du nationalisme, est issue de ce malfonctionnement, qu’il soit politique, économique ou international. Il pense alors qu’il faut à tout prix impulser une nouvelle dynamique au projet européen, au risque de le voir progressivement disparaître. Il est convaincu que l’implantation d’une langue comme européenne peut représenter cette dynamique, en vue de faire renaître ce sentiment d’appartenance commune et relancer le projet européen aux yeux des citoyens.

Samantha Scordato

Étudiante en 3e année à Sciences Po Lyon
Membre fondateur d’Europa Lingua
Trésorière du Parlement Européen des Jeunes Sud Est
Européenne convaincue